Les déclarations du technicien serbe données pêle-mêle aux micros de Mediaset Premium puis en conférence de presse au terme du second match nul concédé face à la Lazio hier soir, notamment rapportées par la Gazzetta dello Sport :
L’analyse de la rencontre :
« Que nous a t-il manqué ? Ce qui nous manque toujours. Après une première mi-temps équilibrée, nous avons dominé la seconde mi-temps, mais nous n’avons pas réussi à marquer. Nous sommes l’équipe qui touche le plus de fois les poteaux en Serie A, et nous l’avons touché deux fois aujourd’hui. Nous avons cherché à marquer par tous les moyens, en essayant de profiter de notre potentiel offensif à disposition, mais nous n’avons pas réussi. Nous n’avons pas été brillants aujourd’hui du point de vue technique, mais notre attitude a été bonne, et bien plus positive que lors des deux derniers matchs. »
Ses rapports avec Berlusconi, et sur les difficultés qu’il rencontre actuellement :
« Mon avis sur les propos de Berlusconi ? Faites un copier-coller, ce sont toujours les mêmes choses qui sont dites…
La plus grande difficulté que je rencontre actuellement au Milan ? Nous n’avons pas de solutions, nous ne pouvons pas faire de changements sur les ailes, nous avons beaucoup de joueurs revenant de longues blessures. La trêve arrive, et nous essaierons de récupérer le mieux possible ».
Le cas Ménez (ndlr, ce dernier a longtemps refusé de débuter son échauffement, qu’il a finalement entamé après discussions avec Nenad Sakic, adjoint de Mihajlovic) :
« Je n’ai pas vu, je regardais des choses plus importantes, comme le match. Nous verrons avec les préparateurs physiques. S’il est avéré qu’il n’avait pas envie d’aller s’échauffer, je m’occuperai de lui ».
Son avenir :
« Parce que je suis un gentleman, je préfère me taire. J’ai un contrat avec le Milan, les comptes seront faits en fin de saison, et nous verrons ».