A l’heure où le football se mondialise chaque jour un peu plus, la perte d’identité des clubs – et en l’occurrence du Milan – demeure un enjeu majeur de différenciation et d’identification aux couleurs de ceux-ci. L’un des points principaux de cette dynamique se retrouve avec la diminution drastique des nationaux chez ces clubs, phénomène particulièrement accentué au Milan où les joueurs italiens sont une infime minorité, à rebours de ce qui faisait historiquement sa force.

Pour développer ce sujet passionnant, trois parties ont été délimitées : le rapport des intervenants au concept d’italianité, les origines historiques de ce concept actuellement en voie de disparition et enfin sa disparition orchestrée dans le cadre d’un football et d’une société mondialisés.

Bonne écoute !

Stefano Pioli ne semblait pas du même avis et Hauge a rapidement perdu du temps de jeu en championnat comme en Europa League, dont il avait été exclu de la liste pour la deuxième parti de saison. A la marge de l’effectif professionnel, l’ailier gauche norvégien rejoint donc l’Eintracht Francfort dans le cadre d’un prêt d’un an, avec une obligation d’achat fixée à 12 millions d’euros, d’après La Gazzetta dello Sport. Il aura pris part à 24 rencontres officielles avec le maillot du Milan, pour 5 buts et 1 passe décisive.

Bonne continuation à lui !

Le transfert prend la forme d’un prêt d’une saison avec une option d’achat, dont le montant est fixé à 4 millions d’euros d’après divers médias italiens. Depuis son arrivée à l’été 2018, Caldara n’a disputé que 2 rencontres officielles avec le maillot du Milan.

Crédit photo : veneziafc.it

Ce prêt est donc une nouvelle opportunité pour l’international U21 italien d’emmagasiner de l’expérience avant de peut-être retrouver le Milan dans un costume plus adapté que dernier choix de l’attaque rossonera.

Bonne saison à lui !

Official Statement: Lorenzo Colombo https://t.co/o70fJWgvCE

Comunicato Ufficiale: Lorenzo Colombo https://t.co/Ddk6CsdHXV #SempreMilan pic.twitter.com/JZdAWy43Ra

— AC Milan (@acmilan) July 31, 2021

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Numéro 2, vraiment ?

Les réactions suite à l’annonce de l’arrivée de Giroud au Milan n’ont pas tardé à faire rimer son nom avec ‘banc des remplaçants’. Son expérience récente de dernier choix dans la hiérarchie des attaquants de Chelsea établie par l’entraîneur Thomas Tuchel ainsi que son temps de jeu famélique avec l’équipe de France à l’Euro suite au retour en Bleu de Karim Benzema n’ont en effet pas favorisé sa cause. Sans compter que lorsque l’on se tourne vers l’effectif rossonero, on constate qu’un élément majeur occupe le devant de la scène sur le poste favori de Giroud… Peut-on dès lors considérer qu’il est pertinent de chercher du temps de jeu dans un club où l’attaquant axial titulaire n’est autre que Zlatan Ibrahimović ? A première vue, pas vraiment.

Quand on y regarde de plus près, le Suédois n’est pas si intouchable que ça. A ce titre, les chiffres de l’exercice 2020-2021 sont d’ailleurs éloquents : le Suédois a disputé 27 matches toutes compétitions confondues et en a raté pas moins de 24 pour raisons de santé ! La saison dernière, le Milan a donc joué quasiment un match sur deux sans son attaquant de pointe titulaire, garant de l’état d’esprit du vestiaire et de la compétitivité de l’équipe. Plus que jamais, à presque 40 ans (qu’il fêtera en octobre prochain), Ibrahimović n’est plus la machine increvable qui ne cessait jamais de jouer et semble donc bien avoir l’âge de ses artères. En outre, les solutions de rechange à disposition du Mister Pioli n’ont pas donné satisfaction : Rafael Leão confirme être tout sauf un joueur d’axe, Ante Rebić n’a aucune prédisposition pour le poste et Mario Mandžukić a été un flop retentissant.

C’est là que le recrutement de Giroud peut conduire à rebattre les cartes. Le Français ne sort pas d’une pré-retraite au Qatar, bien qu’il n’ait pas eu un temps de jeu conséquent chez les Blues (31 matches toutes compétitions confondues dont 12 titularisations, pour un total de 1200 minutes de jeu). Il a tout de même joué à un niveau plus que compétitif, entre la Premier League, la Champions League – remportée par Chelsea – et ses sélections en équipe de France, notamment en Nations League (face à la Suède, la Croatie et le Portugal). Giroud n’arrivera donc pas hors de forme et complètement étranger au haut niveau dans une équipe qui manque toujours cruellement d’expérience. D’autant plus qu’à l’heure actuelle, la date du retour à la compétition d’Ibrahimović n’est pas connue : l’ex joueur de Chelsea peut donc très vite se retrouver dans la peau d’un titulaire au lancement de la saison du Milan, qui sera primordial pour retrouver une nouvelle fois le top 4 de la Serie A en mai 2022. De quoi brouiller de manière effective la frontière entre numéro 1 et numéro 2…

L’art de se faire sa place

Contrairement à son coéquipier suédois et aux stars du football actuel, le parcours d’Olivier Giroud n’a rien de linéaire. Le Français formé au GF38 n’a jamais fréquenté les équipes de France jeunes et s’est découvert au haut niveau relativement tard après avoir écumé les pelouses de Ligue 2 avec Grenoble, Istres et Tours (chez qui il est élu meilleur joueur de deuxième division lors de la saison 2009-2010). C’est à l’occasion de l’exercice 2011-2012 que le grand public fait connaissance avec le buteur Giroud lors de l’improbable titre de champion de France remporté par Montpellier, à l’an I du PSG à la sauce Qatar. Ses 21 réalisations en championnat (plus haut total cette année-là) lui ouvrent les portes de l’équipe de France et lui permettent de rejoindre l’attractive Premier League du côté d’Arsenal. A Londres, il endosse immédiatement le costume de titulaire avec pour tâche de faire oublier Robin Van Persie, parti à Manchester United. Une première saison dans un club du haut de tableau à 26 ans finalement positive, qui se conclura avec 17 buts et 12 passes décisives en 46 rencontres toutes compétitions confondues. Rebelote la saison suivante, avec 22 réalisations et 12 assists en 51 matches, alors qu’Arsenal joue le titre pendant 30 journées, puis 19 buts lors de l’exercice 2014-2015 qu’il a manqué en partie suite à une fracture au pied et encore 24 pions l’année d’après.

Ciao tifosi milanisti sono molto fiero di avere origini italiane e non vedo l’ora di iniziare questa emozionante avventura insieme a voi. Ringrazio Ivan Gazidis che conosco da tanto tempo, Paolo Maldini, Frederic Massara e Mr Pioli per l’accoglienza. Forza Milan pic.twitter.com/7aqSnK5Iy9

— Olivier Giroud (@_OlivierGiroud_) July 17, 2021

2016 marque le début de la fin entre Arsenal et Giroud, face à la concurrence d’Alexis Sanchez et d’Alexandre Lacazette. Mais cet exercice n’entame en rien le bilan comptable du numéro 12 des Gunners : à 30 ans, alors qu’il n’est titulaire qu’à 17 reprises sur les 40 matches qu’il dispute, Giroud inscrit tout de même 16 buts et délivre 7 passes décisives. Finalement et malgré un apport indéniable dans ce rôle de doublure, Arsenal le pousse vers la sortie à l’occasion du mercato de janvier 2018, où il rejoint Chelsea après avoir marqué 105 buts en 253 matches sous le maillot rouge et blanc. Sa meilleure phase chez les Blues arrive à l’occasion de la saison 2018-2019, sous les ordres de Maurizio Sarri, où il montre une nouvelle fois qu’il utilise avec efficacité le temps de jeu qu’on daigne lui accorder. Il est titulaire lors de la campagne européenne qui permet à Chelsea de remporter l’Europa League (face à Arsenal), trophée dont il est l’artisan majeur avec 11 buts et 4 passes décisives en 14 rencontres.

Dans le même registre, alors qu’il est cantonné au banc avec l’arrivée de Frank Lampard à la tête du club du cossu quartier londonien, Giroud retrouve son efficacité lors de la reprise de la Premier League post Covid, en inscrivant 6 buts en 9 journées. Même chose la saison dernière, cette fois-ci en Champions League, avec un quadruplé sur la pelouse du Séville FC et le but de la victoire sur la pelouse de l’Atlético de Madrid en huitième de finale aller. La nomination de Thomas Tuchel en cours d’exercice entame profondément son temps de jeu, l’Allemand misant bien volontiers sur son compatriote Timo Werner, qui n’a pourtant marqué qu’un but de plus que le Français (12 contre 11) en ayant joué 21 matches de plus (52 contre 31) ! C’est sans conteste le principal point fort de Giroud : peu importe les circonstances, son importante confiance en lui et son mental à toute épreuve lui permettent d’avancer toujours et encore… un peu comme Ibrahimović, finalement.

Le Piolismo, tout pour lui plaire

Il y a peut-être bien un heureux dans cette affaire, c’est Stefano Pioli. En recrutant Giroud, le Milan s’est offert à moindre coût les services d’une sorte de petite copie d’Ibrahimović. Aussi bien en termes de mensurations (1m93 et 91kg contre 1m95 et 95kg), de profil (point de fixation de type pivot pour faire jouer les coéquipiers, adroit balle au pied, qualité de frappe certaine) que d’expérience, le Français et le Suédois ont beaucoup de choses en commun. La bonne phase du club rossonero depuis juin 2020 et la reprise de la Serie A suite au tout premier confinement s’est faite sur le passage au 4-2-3-1, après des années d’un 4-3-3 insipide qui ne correspondait jamais à l’effectif à disposition de l’entraîneur d’alors. Ce système mis en place par le Mister Pioli a trouvé comme point de référence un Ibrahimović finalement irremplaçable et unique dans ce rôle au sein du groupe professionnel rossonero, jusqu’à aujourd’hui.

Les absences du Suédois ont mis en exergue une des limites de Pioli, qui ne sait pas faire jouer son équipe autrement que par son schéma favori du 4-2-3-1. Malgré l’absence d’un véritable joueur d’axe lorsque le natif de Malmö n’était pas disponible, le Mister persistait dans l’utilisation de ce système. Dorénavant, il a dans sa manche la carte Giroud – ce remplaçant qui n’en est pas vraiment un – à même de permettre à l’équipe de ne pas se reposer sur l’absence d’Ibrahimović pour justifier une contre-performance potentielle. Dans l’autre sens, c’est aussi un système que le Français connaît particulièrement bien et qui met en exergue ses qualités. Le sélectionneur de l’équipe de France Didier Deschamps l’utilise en effet depuis la saison 2014-2015, période où Giroud s’est installé comme le titulaire au poste de numéro 9 en équipe nationale.

Mais tout dépendra aussi de ses coéquipiers. La réussite de Giroud à ce poste et dans ce schéma a été symbolisée par la Coupe du Monde 2018, remportée par la France. A l’heure où les statistiques sont la première (et seule ?) grille de lecture quant à l’appréciation des performances d’un joueur, le fait que l’ex joueur de Chelsea n’ait pas marqué lors de la compétition lui a valu nombre de moqueries. Pourtant, c’est justement l’utilisation d’un profil comme le sien qui a permis de sublimer le jeu de Kylian Mbappé et Antoine Griezmann sur la route du titre. A l’heure actuelle, à Milan, Giroud combinerait avec Rebić, Díaz et Saelemaekers, probablement insuffisant pour atteindre une nouvelle fois une des quatre premières places de Serie A et pour ne pas faire mauvaise figure pour le retour du club rossonero en Champions League. Avec le Français, la direction sportive a réglé un des problèmes du Milan en s’assurant un joueur expérimenté, régulier et compétiteur mais les chantiers principaux sont toujours ouverts à l’heure actuelle. Le duo Ibrahimović/Giroud ne suffira pas.

New arrivals at Milanello

Volti nuovi a Milanello #SempreMilan pic.twitter.com/je5D1h0tqh

— AC Milan (@acmilan) July 27, 2021

Crédit photo : acmilan.com

Cette interview, réalisée par la Gazzetta dello Sport, nous montre un Kessie heureux à Milan, qui se projette, toujours plus leader, et pleinement convaincu du projet : « Nous avons voulu fortement la Champions, et on a merité cette qualification. Maintenant, nous devons nous montrer à la hauteur de la réputation du Milan en Europe. Et c’est un honneur. Nous ne décevrons pas ! »

Kessie est déjà prêt pour la prochaine saison et parle même des nouvelles recrues : « Je suis ici à Tokyo pour obtenir quelque chose d’important avec mon pays, mais promis, à mon retour à Milan, on règle la question renouvellement. Nous avons un groupe de discussions avec Paolo Maldini et Frederic Massara, ils connaissent mon opinion à ce sujet. Je suis content de l’arrivée d’Olivier Giroud, il n’a certainement pas besoin de mes compliments, c’est toujours bien d’accueillir des joueurs de ce calibre. On vise le sommet dans toutes les compétitions auxquelles on participe, championnat et Coupe.

Le milieu de terrain milanais participe aux JO de Tokyo et veut faire le maximum avec la Côte d’Ivoire : « Je veux qu’on se rappelle de moi avec ce maillot. Les Jeux sont quelque chose d’unique, on a une partie compliquée contre l’Allemagne, qui sera un match difficile. Mon but contre l’Arabie Saoudite a une saveur spéciale. Cela m’a fait plaisir de recevoir les compliments de mes coéquipiers milanais. Il y a beaucoup d’affection entre nous : j’ai hâte de les retrouver. Mais pas trop tôt, j’aimerai aller le plus loin possible dans cette compétition. Après, Milan m’aura pour tout le temps qu’il le souhaite.. »

Et enfin, un dernier mot sur l’une de ses points forts, en tant que tireur de pénaltys : « Le tireur officiel est Zlatan Ibrahimovic bien sur. C’est un attaquant, il a besoin de marquer, comme moi j’ai besoin de courir. Donc, s’il veut les tirer, moi ça me va. En revanche, s’il a un doute, moi je prends mes responsabilités. »

Un vrai message d’amour de Franck Kessie envers Milan, qui rassure tifosi et dirigeants, prêt à signer le renouvellement de Kessie avec une valorisation salariale importante à un an de la fin naturelle de son contrat.

Kvaratskehelia, un renfort de premier choix ?

C’est la rumeur la plus récente du côté de l’AC Milan : il s’agit d’un géorgien, ailier gauche (encore un?) âgé de 20 ans. Il évolue au Rubin Kazan, en Russie, qui a terminé 4è au dernier championnat.
Pour Khvicha, il a disputé 23 matches, 4 buts et 8 passes décisives. Kakhaber Kaladze faciliterait l’opération entre les parties. Il est évalué à 18 millions d’euros et son père aurait affirmé qu’il ne jouerait plus dans le championnat russe l’an prochain.

Peu ou pas de news pour le numéro 10, Kaio Jorge se rapproche.

Le Milan a toujours dans le viseur Vlasic. L’offre faite au CSKA est d’un prêt de 5 millions avec un droit d’achat à 20 millions d’euros, alors que le club russe demande 30 millions d’euros pour l’opération. Selon le Corriere dello Sport, le joueur souhaiterait fortement un transfert à Milan et ce serait la première option pour les Rossoneri.
Concernant Kaio Jorge, Santos a ouvert et a baissé ses prétentions concernant le départ de l’attaquant brésilien. Selon la presse italienne, un accord à hauteur de 4 millions d’euros pourrait être trouvé. Les dirigeants milanais ont déjà un accord avec le joueur, et sont optimistes à la réalisation de cette affaire.

Hauge à Francfort ça se précise ?

L’arrivée de Kvaratskehelia pourrait favoriser le départ plus que probable de Jens Petter Hauge. Le norvégien arrivé l’été dernier ne semble pas faire partie du projet futur de l’AC Milan.
L’équipe de Francfort est l’équipe la plus active sur le dossier. Les allemands avaient formulé une offre de 8 millions d’euros, refusée par les Rossoneri il y a quelques semaines.
Ils en demandent 12 millions d’euros, un accord pourrait être rapidement trouvé qui conviendrait aux différentes parties. Le Milan l’avait acheté 4-5 millions d’euros l’an dernier, ce qui serait pour eux, une belle plus-value.

Venezia ferait son mercato à Milan ?

Venezia, qui cette année, retrouve la Serie A souhaite se renforcer pour jouer le maintien. Et le club mené par Paolo Zanetti aimerait recruter deux joueurs de l’AC Milan : Mattia Caldara et Andrea Conti. Deux joueurs qui sont revenus de prêt (Atalanta et Parma) et ne font pas partie des plans de Pioli. Caldara a encore 2 ans de contrat, et a une valeur marchande de 5 millions d’euros, Conti a seulement un an de contrat, sa valeur marchande avoisinant 4,5 millions d’euros. Le club lombard espère vendre ces deux joueurs rapidement.

Kessie, salaire de top player ?

Le renouvellement de Kessie se précise. Cette semaine, une réunion est prévue entre les dirigeants milanais et son agent pour négocier et trouver un accord. Son contrat se termine l’année prochaine, et Milan veut absolument trouver un accord avant le début de saison, pour éviter les cas Donnarumma et Calhanoglu. La demande initiale de 6 millions d’euros devrait être l’offre faite au joueur. Affaire à suivre, mais les dirigeants souhaitent trouver un accord au plus vite pour blinder LE joueur de l’année 2020-2021. 

Valentina Giacinti à Milan jusqu’en 2024 !

C’est officiel, la capitaine et attaquant(e) de l’AC Milan féminine sera rossonera jusqu’en 2024. Elle fait partie de l’équipe depuis 2018/2019. Pour elle, 55 buts en 72 présences !

C’EST OFFICIEL !

Olivier Giroud s’est engagé avec les rossoneri : c’est surement l’annonce la plus importante de la semaine. L’attaquant français de bientôt 35 ans s’est engagé avec le club lombard pour au moins les deux prochaines années. Son salaire devrait se situer aux alentours des 3,5 millions d’euros. Le français a choisi de porter le numéro 9, numéro qui a vu défiler beaucoup d’attaquants ces dernières années sans que personne ne s’en montre à la hauteur. Le dernier en date était Mario Mandzukic.

Fodé Ballo-Touré, la surprise low-cost : la Ligue 1 est terre de recrutement pour les rossoneri ces derniers temps et cette fois-ci, l’arrivée de Ballo-Touré a surpris tout le monde. Transfert à titre définitif pour la somme de 4,2 millions d’euros + 500k de bonus. Le sénégalais de 24 ans est un latéral gauche qui permettra à Theo Hernandez de souffler un peu au vue de la longue saison qui attend les rossoneri. Joueur rapide, très offensif, cantonné au banc à Monaco, il a de fortes lacunes défensives mais aurait une certaine marge de progression. Bonne ou mauvaise recrue, seul l’avenir nous le dira.

Le retour du Brahim Diaz : l’ancien joueur du Real Madrid restera à Milan pour les deux prochaines années à travers un prêt avec option d’achat et droit de rachat en faveur du club madrilène. Il portera à Milan le numéro 10 laissé libre par Hakan Calhanoglu.

CA CHAUFFE !

A la recherche d’un jeune attaquant : le Milan ne veut pas revivre les difficultés du numéro 9 de l’année dernière. Les dirigeants milanais se sont tournés vers le Brésil où Kaio Jorge aurait leurs faveurs. L’attaquant de 19 ans aurait déjà trouvé un accord avec le club italien mais le Milan et Santos doivent s’entendre : les rossoneri offrent 6 millions d’euros alors que Santos en réclame 10. La Juventus est également sur le dossier. Il viendrait compléter l’attaque des vétérans Zlatan Ibrahimovic et Olivier Giroud, pas mal comme formateurs !

Vlašić, ça se tourne autour ! La presse italienne insiste fortement sur le nom de Nikola Vlašić. Le joueur croate like de plus en plus de posts du Milan sur les réseaux sociaux et tout laisse à croire que le milieu de terrain du CSKA Moscou est le grand objectif du Milan pour ce mercato au poste de meneur de jeu. Le prix demandé par le club russe est de 30 millions d’euros, un chiffre considéré comme trop élevé pour le club lombard qui compterait sur la volonté du joueur pour faire la différence dans ce dossier, dans le cadre de l’habituelle formule du prêt avec option d’achat. L’alternative semblerait toujours être Josip Iličić, plus en odeur de sainteté du côté de Bergame, dont le nom avait déjà circulé il y a quelques temps.

ET SINON…

Pobega parti pour rester ? Après une entrée probante lors du match amical de samedi dernier face à la Pro Sesto (victoire 6-0 avec un but CSC du gardien adverse suite à une frappe de Pobega), le jeune milieu de terrain a affirmé qu’il voulait prouver à Pioli sa valeur et jouer ses cartes à Milan après un prêt à La Spezia l’an dernier. L’idée était de le vendre pour réaliser une plus-value mais finalement, à Milan, on évaluerait la possibilité de le garder en vue de l’année prochaine.

Match amical le 24 juillet : ce week-end, le Milan poursuit sa préparation en recevant à Milanello l’équipe de Modena, l’occasion pour tester la condition physique du groupe (et pour Pobega de confirmer ?) afin de se préparer au mieux pour la saison 2021-2022. La partie commencera à 17h00.

La marque au félin a repris le mauvais template des maillots extérieurs réalisés à l’occasion de l’Euro 2020 pour les sélections qu’elle équipe. Deux traits rouges apparaissent sur les épaules, couleur que l’on retrouve sur le bout des manches et pour le sponsor Emirates Fly Better, tandis que les logo Puma restent en noir. En surimpression, on distingue vaguement différents dessins censés représenter les plans de six villes à travers le monde dans lesquelles la Fondazione Milan – l’oeuvre de bienfaisance du club – gère différents projets. On retrouve d’ailleurs le nom de celle-ci en haut du dos sur ce maillot.

Si l’intention de promouvoir cette oeuvre est louable, le choix de se passer du blanc pour le maillot extérieur est encore plus douteux que de se priver de rayures régulières sur le maillot domicile. Puma multiplie les erreurs grossières et il est bien dommage que ce soit avec ces ensembles que le Milan retrouve la Champions League après de nombreuses années d’absences. Et ce n’est pas fini, le pire reste probablement à venir avec le troisième maillot…