A quelques semaines tout juste du coup d’envoi de la saison 2016/2017, qui devrait intervenir le jeudi 7 juillet prochain, l’incertitude demeure sur le nom du prochain entraîneur qui prendra place sur le banc rossonero pour la saison à venir. A l’heure actuelle, le potentiel numéro un du banc milanais se nomme Cristian Brocchi, intronisé en avril dernier après le renvoi de Sinisa Mihajlovic.
Disposant d’un contrat qui court jusqu’au 30 juin prochain, l’ex-technicien primaverino n’a à ce jour pas encore scellé un nouvel engagement contractuel qui ferait de lui l’homme présent à Milanello pour diriger le traditionnel et médiatisé premier entraînement de la saison. Choix numéro un de Silvio Berlusconi, et dans une moindre mesure d’Adriano Galliani, Brocchi devrait voir son avenir s’éclaircir dans le courant des deux prochaines semaines… soit lorsque le dossier relatif à la cession du Milan se sera davantage décanté. Son avenir dépend en outre du sort de la piste menant à l’autre nom annoncé pour prendre place sur le banc milanais, à savoir celui de Marco Giampaolo.
L’entraîneur d’Empoli, qui a su réaliser avec succès la période de transition ouverte après le départ de Maurizio Sarri (sa formation a terminé à la dixième place de Serie A) est l’option numéro une pour la succession de Cristian Brocchi, Tuttosport ayant notamment indiqué que son nom aurait reçu l’assentiment du consortium chinois actuellement en négociations pour l’achat du club. Giampaolo permettrait également au Milan de renouer avec le 4-3-1-2 plébiscité par Berlusconi d’une part, et d’assister (de manière potentielle) au retour de Riccardo Saponara sous le maillot rossonero d’autre part, en sa qualité de trequartista idéal pour ce schéma de jeu.
Le nom de Manuel Pellegrini a enfin également refait surface, mais les incertitudes demeurant sur la réalisation effective de la cession ont refroidi cette piste, outre le montant des émoluments qui auraient été réclamés par l’entraîneur chilien, d’un montant avoisinant les 6 millions d’euros par an selon la presse transalpine.
Il ne s’agit cependant ici que de diverses hypothèses, qui ne pourront être confirmées ou infirmées que lors des quinze prochains jours.