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Honda : « C’est un rêve qui se réalise »

Keisuke Honda est officiellement arrivé en terre lombarde en début de soirée pour débuter sa nouvelle aventure sous le maillot rossonero. L’occasion pour lui de délivrer ses premières impressions, ses attentes, ses objectifs aux micros de Milan Channel :

« Je suis vraiment très content d’être ici, de pouvoir jouer avec mes nouveaux coéquipiers. Je suis impatient, et très excité. Je suis prêt à jouer, et je serai présent à Milanello dans les prochains jours. Mes objectifs ? J’ai conscience que tout le monde attend beaucoup de moi, mais je pense être capable de donner beaucoup de choses, je peux donner quelque chose en plus à l’équipe. »

« C’est un rêve qui devient réalité car lorsque j’étais petit, je regardais toujours les matchs des rossoneri à la télévision, je suis un grand fan. »

« Mon positionnement ? Je veux marquer, faire des assists, et donc jouer en attaque. Les tifosi m’attendent ? C’est un honneur et j’en suis ravi. Si des conseils m’ont été donnés ? Nagatomo m’a beaucoup parlé en bien de Milan et du football italien ».  

  • Bienvenue au Milan morray !!

  • Ded

    Je ne pense pas qu’Allegri veuille changer de système de jeu! (à ce que j’ai compris, il n’aime pas le 4-2-3-1 et le 4-4-2 lui a été imposé!).
    Il va garder le « sapin de Noël » avec 3 milieux récupérateurs et Kaka’ et Honda en soutien de Balotelli.
    En tout cas, je suis bien content de la venue de Honda. Il a tout pour réussi au Milan: amour du maillot, respect d’autrui, humilité, technique, discipline…

    FORZA HONDA!!!
    FORZA MILAN!!!

    • Maldinipato

      Je veux un 4-2-3-1 MOI je pense qu’il va le faire au pire un 4-4-2 losange
      Abbiati
      Abate rami bonera de sciglio
      De jong
      Montolivo–Honda
      Kaka
      Balotelli el shaarawy
      Mais je préféré mon 4-2-3-1 que vous connaissez 😉 a
      Et quintero veut partir de porto ok il nous servirait à rien et en plus porto vendent super cher…mais je dis pourquoi pas skrtel qui ne joue pas À Liverpool ?

  • milanos

    c qui ce milanos qui ecrit a ma place, serieux t con ou quoi , change ce pseudo

  • tu met balo et pazzini en duo kaka qui les soutien juste derriere honda en 10 montelivo de jong millieux defensif mexes ramis/zapata abate ema et abbiati

  • enleve birsa poli de sciglio zaccardo gabriel saponara muntari el sha et robinho

    • Maldinipato

      Toi tu as rien compris au foot ?

  • milanistaa

    abbiati/ gabriel
    abate/zaccardo – rami/zapata – mexes/bonera -de sciglio/emmanuelson
    montolivio/poli – de jong/muntari
    honda/birsa – kaka/ robihno – el sha/saponara
    balo/ pazzini

    voila l’equipe type pour le moment avec les remplacents 22 joueur + un 3eme gardien + encore un bon defenseur lateral qui sache jouer a gauche ou a droite sa serai nikel et un bon milieu et sa serai parfait pour le moment.
    pour les non cité y fau les vendre ou monnaie d’echange et preter les jeunes 6 mois (vergara cristante niang(deja fait))

    seul joueur que je regreterai c nocerino… si il accepte de rester banquette le temps d avoir du temps de jeu et retrouver son niveau y peu rester lool
    Forza milanoo

  • Maldinipato

    Dorénavant j’aimerai vraiment un 4-2-3-1 avec
    Abbiati
    Abate–Rami–Bonera–De Sciglio
    Montolivo–De Jong
    Honda–Kaka–El shaarawy(en attendant qu’il revienne Sapo)
    Balotelli

    • Andrea

      Ouais mais avec Astori a la place de Bonera !!
      Bonera fera un très bon remplaçant !!

      • Maldinipato

        Je parlais sans achat Andrea 😉

    • Pirlopiero

      J’aime bien mais mexes a la place de bonera serait mieux je suis sur
      Forza milan

      • Maldinipato

        Mexes risque de partir et je dis pas non vu son salaire et si il peut partir pour 10m€

        • damia

          10 millions … les lires sest fini … il va partir pr 2 ou 3 … mais vu qu’il a encore 18 moiq de.contrat … ce que fait 6 millions.en.salaire voila sr quoi milan est content … qd je vois le salaire que l’on a peopose a cette chevre et surtoit la duree du contrat !!! Meme moi je peux etre directeur general du milan

  • milanos

    bon les gars d’ambrosio c foutu, l’inter propose 2M et sera acheté cet hiver. encore un echec de lady gaga. encore un joueur qu’on nous chippe parce qu’on refuse d’avancer 2 petit millions … et encore une fois on va se taper constant … merci lady gaga

    • damia

      2 millions avec un compropriete de mudingaay … le joueur est en fin de contrat … heureusement que milan ne s aligne pas !!! De tte façon il.n est pas meilleur de ce que l’on a et ds et abate partent titulaire vraisemblablement !

  • insomnium

    Merci master bob

  • Master Bob

    Seedorf : Il a traversé l’océan sans savoir à quoi s’attendre. Au terme d’une saison où il avait été peu utilisé par Massimiliano Allegri et où il n’avait pas obtenu le temps de jeu qui était le sien normalement à l’AC Milan, à savoir une cinquantaine de matches par saison, Clarence Seedorf a décidé d’aller voir ailleurs. Il a ainsi rejoint Botafogo, avec un statut de héros accompagné de la responsabilité de montrer l’exemple à un effectif jeune. À son arrivée à l’aéroport, une foule immense l’attendait avec une gigantesque banderole sur laquelle était floqué le visage de la nouvelle recrue. L’adaptation n’a pas été difficile. Seedorf parlait déjà le portugais, appris aux côtés de Roberto Carlos, son coéquipier au Real Madrid pendant quatre ans. « Je ne connais personne qui parle autant que lui au téléphone », raconte le Néerlandais avant d’éclater de rire. À Rio de Janeiro, où il venait en vacances depuis plusieurs années, Seedorf avait déjà ses habitudes. Par exemple, le riz aux haricots rouges, l’un des plats les plus simples et typiques du Brésil, n’a pas de secret pour lui. « J’en mange tous les jours. C’est un plat incontournable. » Le football pratiqué par Botafogo depuis l’arrivée de la star néerlandaise est aussi simple et savoureux que ce fleuron de la gastronomie brésilienne. O Glorioso a remporté le dernier championnat de l’État de Rio de Janeiro et après 17 journées, il est à la lutte pour la place de leader du championnat du Brésil. Le patron de l’entrejeu de Botafogo répond aux questions de FIFA.com pour commenter, entre autres, les excellentes prestations de son équipe depuis son arrivée. Clarence Seedorf, on entend souvent dire que vous êtes le plus brésilien des footballeurs étrangers qui évoluent dans le Brasileirão. Partagez-vous ce sentiment ? Oui, je me sens un peu brésilien. Et c’est un compliment. Les faits sont là pour le prouver : les meilleurs footballeurs viennent du Brésil. Il y a peu de pays où l’on voit autant de gens porter des maillots de foot dans la rue. Pratiquement tout le monde, indépendamment du rang social, est fier de porter le maillot de son club. Au Suriname, on suit beaucoup la Seleção, mais aussi les Pays-Bas. En 1986, quand la France a battu le Brésil en Coupe du Monde, mon père a dû me sortir de la maison pour me calmer. Je pleurais de rage. C’était le dernier tournoi de Zico. Il incarnait le football que j’aimais. Le football brésilien est-il si différent du football européen ? La principale différence se situe au niveau de la discipline tactique, de l’application des consignes. La discipline est beaucoup plus forte en Europe. Ici en revanche, il y a plus de talent pur, plus de qualité individuelle. Mais attention, je ne dis pas non plus qu’il n’y a pas de qualité individuelle en Europe ou de sens tactique au Brésil. En dehors du terrain, ce sont deux mondes complètement différents. En Europe, vous voyagez au maximum quatre heures, par exemple pour un match de Ligue des champions. En championnat, les trajets durent au maximum 1h30. Ici, c’est beaucoup plus long. Pour aller de Porto Alegre à Bahia, il faut 4h30. Sur le plan logistique, c’est plus difficile. En plus, il faut gérer les différences de température entre le nord et le sud. Ce sont de vraies difficultés au niveau de l’adaptation. Cette discipline européenne vient-elle de la formation ou du fait que les entraîneurs sont plus exigeants ? C’est une question d’organisation. Sur le plan tactique, le Brésil est aussi bien organisée que les autres, sinon il n’arriverait pas à gagner. Le football international est ainsi. Mais l’Europe a une certaine culture, dans laquelle l’éducation est un peu rigide alors qu’ici, en Amérique du Sud, elle est plus libre. Quand un pays sud-américain rencontre des difficultés ou se retrouve en situation de crise, il y a plus de créativité ici. Au Brésil, il existe une discipline, mais avec un parfum sud-américain. Tout le monde doit défendre de la même manière. Certaines équipes défendent un peu plus haut, d’autres un peu plus bas, mais toujours de façon compacte. C’est le mot-clé. C’est plus sur le plan offensif qu’on remarque la différence tactique entre l’Europe et le Brésil. En Europe, la plupart des entraîneurs ont des schémas extrêmement précis sur le plan offensif, mais plus vous allez vers le sud, plus les joueurs ont la liberté d’utiliser leur créativité. Prenez la Hollande ou le Danemark d’un côté, et l’Espagne de l’autre. Ça n’a rien à voir sur le plan offensif. Dans le sud de l’Europe, il y a beaucoup plus de liberté pour changer de position et rechercher l’exploit individuel. Au Brésil, vu qu’il y a beaucoup de qualité individuelle, les entraîneurs vous donnent également cette liberté. Ils incitent leurs joueurs à se projeter vers l’avant. Si un attaquant se retrouve avec deux défenseurs sur le dos, il va essayer de les éliminer. Aux Pays-Bas, si vous êtes pris par deux adversaires, la consigne est de donner le ballon derrière. C’est une autre mentalité. Je ne pense pas que l’une soit meilleure que l’autre mais ce qui est certain, c’est que je me sens plus proche du football brésilien. Vous avez remporté le dernier championnat carioca et vous êtes à la lutte pour la première place du Brasileirão.Comment expliquez-vous le succès de Botafogo ces derniers temps ? Le travail, toujours le travail. Nous formons un groupe qui a la volonté de progresser, et vite. Nous avons la chance d’avoir un entraîneur qui réalise un travail merveilleux. Il y a de la qualité et beaucoup de jeunes, mais des jeunes qui font la différence car ils ont envie de progresser. En fait, c’est quelque chose de rare de voir autant de jeunes joueurs progresser aussi rapidement. Normalement dans une équipe, vous avez de la réserve pour pouvoir toujours disposer d’un onze solide. Cela dit, tout le monde sait que nous n’avons pas la profondeur d’effectif de clubs comme Corinthians, Grêmio ou l’Internacional. C’est pourquoi les jeunes de Botafogo doivent progresser très rapidement. Je pense que l’année qui commence sera la bonne. Mais on verra. Regardez ce qui s’est passé avec Fluminense. L’année dernière, ils ont survolé les débats, mais cette saison, ils sont en difficulté. J’ai découvert au Brésil ce que signifiait une équipe équilibrée. Nous récoltons le fruit de nos efforts. Nous formons un groupe solidaire, où chaque joueur aide tous les autres. Cela se traduit par un football positif, avec la balle au sol et des actions construites. À chaque match, nous nous créons beaucoup d’occasions. En tant que leader de l’équipe, vous avez une certaine responsabilité dans l’évolution de ces jeunes joueurs. Comment gérez-vous cela ? Les gens ne voient que les 90 minutes du match, mais derrière ça, il y a des heures et des heures de conversation avec les jeunes, de questions surtout. Quand vous posez des questions à un nouveau coéquipier, ou à un coéquipier tout court, il commence à réfléchir. Faut-il leur dire tout ce qu’ils ont à faire ? Sur le terrain, oui, c’est mon rôle. Mais en dehors, mon attitude est différente. Je dois les aider à grandir par eux-mêmes. Je suis passé par là. Comme pour eux, mon évolution a été très rapide et compliquée en même temps. En dehors du terrain, les conversations tournent autour de cela. J’essaie de leur faire comprendre certaines choses pour qu’ils comprennent leur propre évolution.

    • Tu nous a écriit son wikipédia ou quoi ? LOL

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