A la recherche d’investisseurs pouvant injecter des liquidités dans la trésorerie de l’institution rossonera, les dirigeants du Milan ont logiquement relancé la boite à rumeurs concernant une éventuelle cession de parts du club à des investisseurs étrangers.
Dernière rumeur en date, celle menant à l’investisseur singapourien Peter Lim, qui serait prêt à offrir 500 millions d’euros pour acquérir une courte majorité des parts du club, soit 51%, contre 49% pour la famille Berlusconi et Fininvest.
La Gazzetta dello Sport a également avancé un autre nom ce jeudi, celui de Zong Quinhou, seconde fortune chinoise, à la tête d’un groupe de boissons chinois ayant facturé près de 10.2 milliards d’euros sur l’exercice 2012. Aucun chiffre n’a filtré concernant une éventuelle offre du magnat chinois, mais nul doute qu’elle fut proche de celle de son alter-égo asiatique.
Des rumeurs auxquelles la famille Berlusconi a évidemment tenu à couper court; pour ce faire, Silvio Berlusconi a été envoyé au front, au nom du club rossonero et de Fininvest :
« Le Milan n’est pas à vendre, et il vaut plus de 500 millions d’euros. Il en vaut 510 ? Ne plaisantons pas avec les choses sacrées ».
Du classique, en somme. Reste qu’une entrée à titre minoritaire de l’un des deux investisseurs n’est pas à exclure, cependant…